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les histoires d'amour finissent toujours mal ...
les histoires d'amour finissent toujours mal ...
  • Une histoire qui a brisée mon âme qui m'a fait avoir peur des hommes et surtout des histoires d'amour et qui refusent de guérir : mon histoire. Mon remède : écrire, poser des mots sur ma souffrance et surtout sur le déroulement d'une histoire qui restent e
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20 octobre 2009

Au début il y avait ...

Un matin votre horloge biologique se rappelle a vous et quand vous faites un bilan de votre vie c'est effrayant. La quarantaine, un mari, des enfants aucunes amies, peu de sorties... vous réalissez que votre vie n'est pas votre vie. Une enfance rempli d'interdiction, une adolescence à 200 à l'heure pour compenser le temps perdu et à 32 ans premier enfant, mariage et une vie qui petit à petit devient morne et sans interrée. Votre poids à doublé et le regard des gens sur vous est devenu un calvaire. Mais celui qui est le plus difficile a accepter c'est encore le votre : vous n'êtes plus une femme. Votre mari c'est touvé un hobbie qui lui prend tout son temps  : vous n'êtes plus sa femme... peu à peu la depression prend une place de plus en plus grande vous devenez plus que l'ombre de vous même. le ciel est noir et le seul petit rayon de soleil c'est le sourire de vos enfants. Même cela vous rempli de doute : êtes vous une bonne mère, certes vous avez des tonnes d'amour à donner mais cela suffit il à faire de vous une bonne mère, comment savoir. La votre n'est pas vraiment une référence. Sa conception des bons parent se résume aux faits que vous avez toujours eu de quoi mangé et que vous avez fait des études. Affection, complicité sont des mots qui n'ont pas grande signification pour elle. Vous vous débordais d'amour vous le donnais à qui en manque et ce sans compter. Vous vous nourrissais du bonheur que vous lisait dans les yeux de ceux qui le reçoivent. Mais là plus de lueur pour vous nourrir et comme une fleur sans eau vous êtes en train de vous éteindre petit à petit. Les petites manies de votre enfance reviennent : vous cammouffler votre mal-être derrière une exubérance excéssive. Vous vous mettais à parler parler sans cesse pour remplir l'espace, votre espace. mais vous ne le remplissais que de vide.

Un jour un nouveau venu apparait dans votre monde, un collègue d'une autre agence que vous rencontrais lors d'un déplacement. Contrairement aux autres il vous voit, sa conversation n'est pas uniquement professionnelle, il cherche à savoir qui vous êtes vous en tant que personne. Passé le moment de surprise vous vous dévoilais petit à petit. Au depart vous vous contentais de lui faire une description matériel de votre famille sans jamais parlé de votre souffrance. Et cours d'un voyage en voiture vous ne savais pas pourquoi ce qui fait que tout d'un coup vous videz votre sac. A t'il souri, a t'il dit quelque chose qui vous a rassuré ou tout simplement le besoin est il devenu si grand que tout est sorti... peux importe vous l'aviez fait. Même si au moment de le quitter vous avez ressenti de la geine d'avoir ainsi parlé à un illustre inconnu, le mal qui vous avez rongé depuis des années était enfin sorti.

Pratiquement trente ans il avait régi votre vie affective mais surtout sexuelle. Au ce n'était qu'un jeu d'adolescent, une découverte du corps à une époque rempli de tabou mais pour la petite fille que j'était il était difficile de comprendre pourquoi vous deviez accepter ses mains sur votre petit corps, ses levres sur les votre. Même si vous n'avez pas le souvenir d'un traumatisme votre vision du sexe est faussé. A 18 ans pour faire comme tout le monde vous le faite sans plaisir sans vrai désir juste pour rentrer dans une normalité qui vous est inconnu. Même lorsque vous avez une vrai relation amoureuse le sexe est juste le moment calme qui vous permet de vous remémorer les courses à faire. C'est extrèmement caricatural mais vous savait ne pas être seule car celle ou celui qui à lancé cette image à du s'appuyer sur du vécu. Comme votre vie sexuelle n'est pas assez pénible, lors d'un violent chagin d'amour que vous noyez dans l'alcool un bon copain de votre bande vous console en vous basculant sur le sol dure d'une digue alors que vous êtes incapable de comprendre ce qui se passe. Il se repend le lendemain en commentaire sur la sècheresse de votre corps mais comment pouvait il en être autrement ce doux liquide de votre désir ne pouvait apparaitre qu'en pleine conscience des évènements. Aussi paradoxal que cela puisse paraitre c'est ce moment la qui a été le plus difficile à accepter. Une depréssion sévère à suivi et n'a disparu que le jour ou j'ai été capable de dire non à un jeune homme. Ce non que je n'ai pu prononcé, ce non que je n'ai pu pensé...

Le plus dur à entendre aprés mon récit ce son les mots qu'il a mis sur ces évènements des mots que je refuse encore aujourd'hui. Le premier était un jeu ou la peur m'empéché de dire non et le deuxième ou l'idiotie de ma beuverie ma conduite à être incapable de refuser un évènements. Même si j'accepte le fait de ne pas être entièrement responsable je le suis d'avoir bu plus que de raison...

Je crois qu'aprés cela même si j'ai toujours refusé de le reconnaitre mes sentiments pour mon bienfaiteur se sont mis à germer dans un coin de mon coeur. Il s'en est suivi une période qui n'a pas était trés facile pour lui, il est devenu ma bouée de sauvetage. Chaque moment pénible pour moi lui imposé des heures de téléphones et ce durant 2 mois. Ensuite j'ai du calmer ma freinesie, d'une part pour notre travail et d'une autre pour les 2 notes de téléphone phénoménale que cela entrainé. Ces longues heures nous avaient énormement rapproché, il était devenu le grand frère que je n'avais jamais eu. Nous nous voyons que rarement et lorsque plusieurs mois après je l'ai anouveau revu j'ai du me rendre à l'évidence que mon coeur se mettais à battre la chamade et que le moindre contact furtif générait en moi un trouble qui me faisait presque défaillir. Il est alors devenu mon coatch minceur, ses encouragements m'ont décidé à prendre mon corps en main. J'ai commencé à perdre du poids, beaucoup de poids : 27 kg même si avec le temps j'en ai repris 7. J'ai changé ma garde robe pour la première fois depuis des années je me suis occupé de moi. Je me suis inscrite en danse orientale paradoxale pour quelqu'un de ma corpulance. J'ai commencé à accepter mon corps et a redevenir une femme, tout cela grace à lui. Je crois que c'est la raison qui me poussera plus tard à tout lui pardonner.

Ma plus grosse erreur a été de lui avouer mes sentiments, notre relation s'en est trouvé alors extrèmement compliqué. Il était mon ami et c'est à mon ami que j'ai fait cet aveu sans rien attendre en retour. Pour une raison que j'ignore j'ai toujours éprouvé le besoin d'être foncièrement honnête envers lui. C'est pourquoi je lui ai dit de faire attention lorsque nous nous reverrions car j'était rempli d'envi de séduction, rien de tordu rien de compliqué juste envi de lui plaire. Nous étions marié et n'en avions pas le droit je voulais qu'il puisse être notre raison, ma raison. Chaque idée chaque envie je la lui ai communiqué pour une transparence parfaite. Je voulais que notre relation amicale soit basé sur la confiance et surtout sur la vérité. Mais cela a fait tout l'inverse, une relation rempli de méfiance est apparu, une relation rempli de suspition des plus abérante, des idées qui n'auraient jamais pu germer dans mon cerveau dans ma relation à moi 100 % honnète, des idées qui m'ont fait souffrir. Plus je me voulait franche plus il me décrivait calculatrice et fausse. Enfin tout cela aprés que sa vie ai pris un tournant pour le moins pénible.

Lors d'une discussion banale, je lui ai fait part de mon idée que tout les adultères était découvert grace au portable et fort de cette remarque il a consulté le sien pour découvrir ce qu'il avait toujours refusait de voir mais qu'il savait au fond de lui même : un autre homme s'était immisé dans leur vie. j'ai beaucoup souffert d'être l'instigatrice de sa découverte mais j'ai surtout beaucoup souffert de la haine qu'il a alors reporté sur les femmes. Il est clair que cela était une réaction normale, cette trahison associé à mes sentiments pour lui alors que moi même j'était marié ne faisait qu'accroitre son idée que les femmes étaient toutes des salopes. Sa détermination a affirmer le contraire et bien entendu l'ampleur de mes sentiments pour lui m'ont empêcher de réaliser cela, j'était bien plus enclain à croire ce qu'il me disait que cela ne changé rien entre nous. Je n'ai à ce moment là pas vu pour autant une opportunité pour moi, trop occupé à souffrir avec lui pour lui. Je ne voyait alors qu'injustice, comment pouvait on faire pareille chose à un être aussi bon...

C'est a ce moment là que ma vie à basculé dans l'incompréhention la plus totale, c'est cette partie là que j'ai besoin de poser afin de pouvoir enfin tirer un trait dessus, oublier et surtout pardonner...

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