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les histoires d'amour finissent toujours mal ...

les histoires d'amour finissent toujours mal ...
  • Une histoire qui a brisée mon âme qui m'a fait avoir peur des hommes et surtout des histoires d'amour et qui refusent de guérir : mon histoire. Mon remède : écrire, poser des mots sur ma souffrance et surtout sur le déroulement d'une histoire qui restent e
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7 décembre 2009

Ces mots raisonnent sans cesse dans ma tête :

Ces mots raisonnent sans cesse dans ma tête : "Comment peut on se mettre dans un tel état juste pour un non". Je n'ai pu y répondre non pas que je n'avais rien à répondre à cela mais parce que la réponse était trop douloureuse.
Ce charmant jeune homme ne m'a pas simplement dit non, tout refus n'est jamais agréable mais on s'y fait, on l'accepte tant bien que mal.
J'ai du mal à accepter qu'il résume notre histoire avec une seule phrase et surtout avec cette phrase...On peux déja étudier le "non", ce n'était pas non je ne veux pas coucher avec toi mais non je ne peux pas coucher avec toi, j'en ai envie mais je ne peux pas. Déjà là il y a un problème, certes non c'est non mais "je ne peux pas" en refusant de donner la raison : ne peut on pas en doute raisonnable penser que c'est qu'il a, suite à son histoire douloureuse, l'impossibilité d'avoir des rapports sexuels avec qui que ce soit ? Bien sur que si et moi j'y ai cru, profondement cru... Je savais que l'echec de son mariage l'avais profondemment affecté et particulièrement dans sa qualité d'homme. Je n'avais de cesse de lui dire quel bel homme il est, combien il m'était désirable et si certains jours je ne le faisait pas et qu'il était triste il amenait la discussion sur ce sujet. Je savais ce qu'il attendait, ce qu'il voulait entendre, je le pensais sincèrement il ne m'était donc pas difficile d'être crédible.
On avait instauré un petit jeu tout les deux qui même si j'appréciais ces moments d'intimités me faisait souffrir... beaucoup souffrir. Si j'ai accepté ses règles du jeu c'est parce que d'une part c'était agréable de toucher son corps "d'homme" mais principalement parce que je pensais que cela lui était neccéssaire pour résoudre ses problèmes et enfin faire ce qu'il avait prétendument envie : me faire l'amour. Si j'avais ne serais ce qu'une fois douté de l'issu de notre relation je n'aurais pas joué. Il prétend ne l'avoir fait que pour moi pour que je me sente mieux que je souffre moins mais ce n'était pas le cas et il le savait. Quand c'est devenu trop difficile on a stoppé le jeu durant un an. Certes mes sentiments pour lui n'avait pas disparu mais j'avais fait mon deuil de ce moment que je désirais tant. Notre relation s'en est trouvé amélioré même si elle n'était pas parfaite.
Quand il m'a proposé de venir dans ma chambre un soir de déplacement : je n'en revenais pas. Mon coeur c'est mis à battre la chamade, le moment tant attendu était enfin arrivé... Il s'est assis sur la chaise et moi sur le lit. On aurai dit deux adolescent lors de leur première fois. J'avais encore des doutes mais c'était la première fois que cela arrivait qu'on se retouve dans la même chambre et c'est lui qui l'avait voulu. Alors pour en avoir le coeur net j'ai posé ma main sur son genou, attendant qu'il la repousse ce qui aurait sonné la fin de mes espoirs ou qu'il me laisse faire porte ouverte à tous les plaisirs. Je portais un tee-shirt avec un anneau entre les seins et il y a passé les doigts avec son air de petit garçon pris en flagrant délis de bêtise. Ce regard m'a toujours totalement fait craqué.. J'ai monté mes mains plus haut sur ses cuisses... on c'est installé sur le lit, moi sur lui. Je l'ai embrassé dans le cou et quand j'ai voulu l'embrasser sur la bouche il a murmuré à mon oreille "tu sais qu'on ne le fera pas" et je lui ai répondu "je sais" mais je le savais pas. J'avais le sentiment d'avoir pris une claque mais je ne pouvais pas m'arreter de le caresser j'avais tellement envie de lui...ce n'était pas non plus pour lui déplaire. Il m'a aidé à lui oter son pantalon. Il m'a demandé d'oter tous mes vêtements mais je ne voulais pas d'une part parce que j'était trés complexé de mon corps et d'une autre parce que je n'avais absolument pas prévu cela, je n'était même pas rasé : oh la honte... Il a su me convaincre en disant que cela me fairais du bien de vaincre mes complexes. Je l'ai fait. On c'est caressé , lui timidement et moi avec désir et ce jusqu'au bout de son plaisir. Je savais que je ne pourrais atteindre mon propre plaisir, cette situation que je n'attendait pas, ma nudité, mes poils long et apparent : trop de facteur bloquant pour moi. Ensuite on est resté l'un contre l'autre nu sur le lit. Je ne me lassais pas de caresser ce corps de male si désirable et quand j'ai levé le regard vers lui il regardait sa montre... ca ma fait mal... mes caresses l'ennuyaient... trop dure. Il est ensuite retourné dans sa chambre et je me suis endormi avec ce souvenir merveilleux mais je n'avais pas atteind mon plaisir et au milieu de la nuit je me suis reveillé mon désir toujours là et rempli du bonheur que ce moment m'avais procuré. Je me suis demandé s'il dormait car je savais qu'il se reveillé toujours tôt dans les hôtels. J'avais envi et aussi bizarre que cela puisse paraitre j'avais le sentiment qu'il s'était passé quelque chose de trés fort entre nous et qu'il devait aussi le ressentir. On se voit pratiquement que 2 à 3 fois par ans je savais qu'il faudrait de long mois avant que la magie réopère alors je me suis levé me suis douché, je me suis rasé ai mis de beau dessous contrairement à ceux de la veille. J'ai pensé à ce moment merveilleux passé ensemble et me suis mise en condition, j'avais envie qu'il me donne du plaisir et comme je respectais son choix de ne pas vouloir de relation plus approfondi je voulais qu'il me le donne par des caresses mais je ne voulais pas que cela dure des heures...Je me suis posté devant sa chambre et j'ai attendu plus d'une heure. Quand j'ai vu la lumière j'ai frappé, il a ouvert avec son short : il était beau... mais quand j'ai vu son expression j'ai compris que la magie s'était envolé : il était furieux... je suis retourné dans ma chambre et j'ai pleuré toute les larmes de mon corps ensuite j'ai caché le désasdre avec du maquillage. Je me suis excusé et il m'a fait des remarques durant des mois voir des années sur ce matin là. J'ai du m'excuser un nombre de fois certaines, non pas que je trouve mon attitude totalement déplassé ou inconvenante mais parce qu'il l'avait extrèmement mal pris. Pas une seule fois il ne c'est demandé pourquoi j'était là, pas une seule fois il ne c'est dit qu'il était normal que je veuille prendre du plaisir moi aussi et que je m'était couché frustré... frusté qu'il ai encore refusé de me faire l'amour alors qu'il s'invitais seul dans ma chambre, frusté de ne peux avoir pu prendre de plaisir ...
Par la suite il n'a retenu de ce moment la que moi devant sa porte le matin, le plus dure c'est qu'il me présentais comme une espèce de "psychopathe" pour avoir cela pour avoir eu envie de prendre du plaisir...
Le problème c'est que pour le coup mes complexes ne ce sont pas évanoui... bien au contraire mais comment en aurait il pu être autrement. Un homme vous demande de vous mettre nu, refuse de vous embrasser et refuse de vous faire l'amour ensuite il regarde sa montre et vous traite de "folle" par la suite... c'est sur après cela je me suis sentie belle et désirable OH oui...
Comment accepter ce non qui n'est pas un vrai non puisqu'il accepte de prendre du plaisir mais refuse de vous en donner...
Il se disait mon ami, mon ami ne pouvait pas m'imposer une telle souffrance sans une vrai raison... mais quelle vrai raison... ah il en a eu parait il mais il ne peux me la dire... Posons nous la question : que pourrait il y avoir pour moi de pire si on faisait l'amour une fois et une seule ? Je me sentirais enfin femme... comme lui c'est senti homme grace à moi... ah non ça c'est les avantages... nos relations de travail s'en serais trouvé amélioré car ma rancune n'est que le résultat de son attitude de refus de plaisir pour moi et pas pour lui... toujours avantage...je n'aurais pas envie que cela recommence... mais ça c'est pour lui et uniquement pour lui, de toute façon ma demande était une fois et une seule et son "non" si je l'avais malgré tout demandé m'aurais paru normal... à mais cela il ne le crois pas... comme d'habitude pourtant c'était vrai... j'ai tout fait pour qu'il puisse me faire confiance sur ce sujet.
Lors d'un autre jeu ma bouche était si proche de lui que j'aurais pu le faire sans qu'il n'y puisse rien mais je ne l'ai pas fait ca m'a coutais beaucoup vraiment.. mais j'avais promis et je tiens toujours mes promesses, j'ai levé mes yeux comme pour lui demandé son accord, il m'a relevé pour refuser et je l'ai accepté depuis c'est mon plus grand regret... mon honneté n'a pas été payante alors j'aurais du faillir à ma promesse au moins je me serait fait plaisir...
A cela il me demande ce que cela aurait pu m'apporter mais merde cela m'aurais donné du plaisir, n'avais je pas droit à cela??!! Comment peut on être aussi égoiste ?
Continuons a expliquer pourquoi ce non me met dans un tel état !
Le jeu à durais 2 ans suite à sa reprise. On a vécu des moments intenses souvent juste par le fait d'être ensemble et de parler ensemble. Je lui ai demandé de me dire qu'il voulait pas coucher avec moi et il a refusais car ce n'éatit celon lui pas la vérité et il ne pouvais me mentir et pourtant il l'a fait si souvent me mentir. Des mensonges qui m'ont vraiment fait beaucoup de mal mais celui qui aurait pu me guérir il ne pouvait pas... alors pourquoi si ce n'est qu'il avait besoin de ces moments pour se sentir "homme" oubliant que moi aussi j'avais besoin de me sentir "femme" c'est la seule explication que je vois aujourd'hui.
Il m'a aussi dit vivre intensemment certains moments avec moi alors pourquoi ? "Je ne peux pas te le dire" est la seule réponse qu'il ai pour moi.
On a vécu un de ses moments intense pour tous les deux en rentrant de déplacement. Ensuite je lui ai posé des questions car je ne pouvais comprendre s'il l'avais vécu aussi intensemment que moi pourquoi son refus. pas de réponse ou plutôt si une réponse que je n'attendais pas une semaine aprés notre retour : "Il avait couché avec une fille qu'il avait connus quelques mois auparavant"... oh douce descente aux enfers.. C'était les vacances de noël j'ai passé mon temps au lit à pleurer toute les larmes de mon corps. Comment lui mon ami avait il pu courrir faire l'amour à une autre moins d'une semaine après notre moment intense? Pourquoi lui mon ami avait il acceptait que je le caresse alors qu'il n'avait du désir que pour cette femme ? Jamais je n'ai sentie de douleur aussi violente, j'était plié en deux dans mon lit en position phoetus... par la suite je vais apprendre que c'était un mensonge pour mon bien... c'est sure cela m'a fait beaucoup de bien...
Il a tout même couché avec cette fille "que beaucoup d'homme rêverais d'avoir" exactement les paroles qui vont me réconforter mois la fille que personne ne veut...
Alors oui ce "non" me pourri la vie encore longtemps après la fin de notre jeu oui j'ai peur des hommes car je sais que je ne me relèverais pas d'une autre humiliation...
Car cela a été un "non" à mon plaisir et un "oui" au sien. grace à ce jeu il a réussi à faire la cour , embrasser et faire l'amour à une femme splendide mais moi il m'a laissé sur le bord de la route. loin très loin dérrière. Il a fait remonté à la surface tous les vieux démons que j'avais mis 30 ans à enterrer.
Voyons résumons les faits : je me met entièrement nu, pas de baiser sur la bouche, des attouchements surtout pour l'homme... euh voyons de quel évènements parlons nous... des abus dont j'ai était victime enfant ou du présent avec lui mon ami mon collègue... DU PRESENT... dommage pour moi... tant mieux pour lui...
Oui je souffre, j'ai le sentiment que celui qui se disais mon ami c'est servie de mes sentiments pour lui afin de regagner sa propre confiance en lui, détruisant par la même la mienne. Oui pour moi cette histoire est d'une violence extrème par ce que c'était mon ami, parce que je l'aimais parce qu'il m'a refait vivre mon passé. La violence n'est pas juste physique elle peut être morale elle n'en ai pas moins forte.
Lors de notre dernière discussion il m'a reprochait d'en avoir parlé alors qu'il avait juste posé une simple question : "Pourrais je coucher à nouveau avec mon mari infidèle?" mais la vérité ce qui m'a fait en parler c'est la force avec laquelle il voulais que je le fasse. A chacune de mes raisons de refuser il a tenu à me dire que j'avais tord. J'ai detestais cette insistance à vouloir me faire coucher avec lui alors que lui même est incapable de le faire avec sa femme. Je sais comme cela je ne pourrais plus le rendre responsable du fait que je n'ai pas fait l'amour depuis 3 ans, du fait que je vais sans doute jamais savoir si enfin j'avais gagné mon pari d'avoir une sexualité "normale" et épanoui. J'ai le sentiment que je vais mourir sans obtenir de réponse à cela j'espère me tromper mais c'est dur j'ai des tonnes de désirs et des tonnes de peurs.
Je ne pourrais jamais lui dire cela, je le voudrais, j'aurais besoin qu'il le comprenne ne serais ce que pour lui pardonnais mais ce n'est pas possible. Il y a une chose que j'ai apprise avec lui c'est même si ma souffrance est intense que j'ai besoin qu'il en prenne conscience je ne dois jamais au grand jamais penser qu'il puisse comprendre et ne pas pouvoir me faire plus de mal. A chacune de mes tentatives de discussion avec lui il a le sentiment que je veux dire toujours la même chose c'est marrant mais au boulot c'est pareil : a propos d'un fichier :  je lui parle du contenant  (le nom du fichier) et il pense que je lui parle contenu (le remplissage des zones contenu par ce fichier)  et c'est sans fin je vois son erreur essaye de lui expliquer autrement mais rien n'y fait. Ici c'est pareil, avec le temps et la disparition de mes sentiments mais surtout mon impossibilité d'admettre que celui qui ce disais mon ami puisse me faire une chose aussi horrible j'ai vu les choses avec plus de recul j'ai essayé de le comprendre mais je ne peux pas. Pour lui mes sentiments sont le coeur du problème alors que c'est grace à eux que j'ai accepté qu'il me traite de la sorte sans cri ou vengeance. Pour en revenir à ce que je voulais dire, a chacune de nos discussions la dessus il m'a dit des choses encore plus méchantes encore plus dure alors tant pis c'est dure je dois souffrir seule en silence et j'y arrive relativement bien. Seulement chaque fois qu'il me traite pas "en collègue" normale ou qu'il me fait des remarques comme celle qui m'a fait écrire tout cela. Je passe des semaines à m'en remettre, à pleurer la nuit parfois le jour. Et la question que je me pose c'est "Comment a t'il pu me faire une telle chose", il connaissais mon passée mes sentiments pour lui et tout comme lui m'a dit "non je ne PEUX pas" moi je lui ai dit que tout cela n'était pas un jeu pour moi, que tout cela me faisait souffrir et que j'attendrais qu'il soit prêt. Il aurais du être clair en disant je ne veux pas car c'était la vérité il n'avait pas de problème physique l'empechant de le faire a moins que ce soit le dégout de ce gros corps mais sinon ne pas pouvoir n'est pas valable car il ne pouvais pas me faire l'amour mais il pouvais se faire caresser jusqu'au plaisir. Un jour je lui ai demandé pourquoi il ne me touchais presque pas il a répondu pour ne pas être tenté d'aller plus loin alors je lui ai demandé pourquoi dans ces cas là n'avions nous jamais inversé les rôles, il me caresse jusqu'au bout et je le touche pas. Il n'a rien eu à répondre. J'aurais accepté une raison "autre" au refus si le jeux avait été équitable mais en fait c'était à sens uniquement et surtout rien pour moi. Pas même un baiser, j'avais demandé qu'il m'en donne un mais même cela je ne l'ai pas mérité en fait j'était juste bonne à branler. Trop conne la fille trop amoureuse et trop conne pour voir que je n'ai été pour lui qu'un jouet jetable à volonté. On siffle, elle caresse on dit stop elle stoppe on dit attend elle attend...
Le première de nos grosses disputtes à eu lieu après notre premier jeu. Quand je suis rentrée chez moi j'était tiraillé entre le plaisir d'avoir touché son corps et le sentiments que tout cela n'était pas bien "normal". Je me suis mal exprimé au lieu de dire que "j'acceptais ses règles du jeu" je lui ai dit que "j'accepté ce jeu". Et la on est parti sur une polémique qui a duré plusieurs années qui dure encore car il refuse toujours d'entendre la vérité. Il a vu cela comme une accusation. je l'accusais d'être l'instigateur de ce jeu. En voulant me defendre j'ai voulu lui faire comprendre que nous étions 2 à vouloir qu'il se passe quelques chose mais moi je voulais plus et lui juste cela c'est ce que j'avais décidé d'accepté pensant que c'était un problème physique chez lui. Et comme il semblait dire que j'était seule à vouloir j'ai essayé de lui démontrer que lui aussi voulait et la encore il a cru que je disait que lui seul voulait. Enfin peux importe on voulait tous les deux sauf que moi je voulais une vrai relation même "que sexuelle" mais une vrai
Aujourd'hui j'ai découvert que les jeunes garçons ( à partir de 11 ans) jouent régulièrement à ce genre de jeu (attouchements) mais moi je n'ai jamais connu cela même adolescente. Et encore moins à plus de quanrante ans. avant 30 ans un garçon devait s'armer de pateince avant de passer au sexe et même au caresse sexuelles juste flirt, passé trente ans les caresses sexuelles finissaient obligatoirement en relation sexuelle et cela dans la première semaine de notre rencontre. Alors ce jeu n'avait "rien de naturel" pour moi. Je nous trouvait trop agée pour ce genre d'enfantillage et cela ne faisait qu'accentuer ma certitude du problème sexuel qu'il pouvait avoir.
Tu parle, il en avait un c'est vrai son manque de confiance en lui mais il n'a à aucun moment songé partager sa réussitte avec moi, moi j'était juste celle par qui cela pouvais être possible avec une superbe femme bien sure.
Enfant j'ai été celle qui a permis à deux adolescents de découvrir le corps d'une fille avant qu'ils puissent en mettre une dans leur lit et à quarante ans j'ai permis à un adulte de prendre assez confiance en lui pour faire l'amour à une autre femme que sa femme. Je lui ai parlé de la sexualité féminine de leur attente leur désir de tout ce qu'un homme acquiert avec l'expérience mais que lui n'a pas connu vu qu'il s'est marié à 17 ans et qu'a cet age la sexualité est loin d'être celle d'une adulte.. enfin j'ai été sa coatch mais je l'ai surtout vécu comme étant un jouet sexuel.
A la fin d ce récit je n'ai plus de larmes mais faut dire que j'ai passé une partie de la nuit à pleurer et durant tout mon récit également. Je ne pensais pas en dire autant...
Je dois écrire car je ne peux en parler à quiconque pas même à ma meilleure amie exactement que ce qui m'est arrivé jeune j'ai mis 20 ans avant de le dire à qui que ce soit. C'est à lui d'ailleurs que j'en ai parlé. Il avait toute les données pour savoir que son attitude avec moi était pas la bonne mais non. Il refuse d'avoir tord, il mourra un jour avec la certitude d'avoir bien agis et moi je suis sure que je penserais à tout cela avant de partir. Mes paroles se perdront dans le monde immense qu'est internet et personne ne saura ce que ma souffrance à été. Je la cache derrière le sourire la nourriture les cadeaux pour les autres pour moi... je m'accorde des plaisirs qui ne seront jamais ce que j'était en droit d'attendre mais qui reste des petits plaisirs tout de même.....

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20 octobre 2009

Au début il y avait ...

Un matin votre horloge biologique se rappelle a vous et quand vous faites un bilan de votre vie c'est effrayant. La quarantaine, un mari, des enfants aucunes amies, peu de sorties... vous réalissez que votre vie n'est pas votre vie. Une enfance rempli d'interdiction, une adolescence à 200 à l'heure pour compenser le temps perdu et à 32 ans premier enfant, mariage et une vie qui petit à petit devient morne et sans interrée. Votre poids à doublé et le regard des gens sur vous est devenu un calvaire. Mais celui qui est le plus difficile a accepter c'est encore le votre : vous n'êtes plus une femme. Votre mari c'est touvé un hobbie qui lui prend tout son temps  : vous n'êtes plus sa femme... peu à peu la depression prend une place de plus en plus grande vous devenez plus que l'ombre de vous même. le ciel est noir et le seul petit rayon de soleil c'est le sourire de vos enfants. Même cela vous rempli de doute : êtes vous une bonne mère, certes vous avez des tonnes d'amour à donner mais cela suffit il à faire de vous une bonne mère, comment savoir. La votre n'est pas vraiment une référence. Sa conception des bons parent se résume aux faits que vous avez toujours eu de quoi mangé et que vous avez fait des études. Affection, complicité sont des mots qui n'ont pas grande signification pour elle. Vous vous débordais d'amour vous le donnais à qui en manque et ce sans compter. Vous vous nourrissais du bonheur que vous lisait dans les yeux de ceux qui le reçoivent. Mais là plus de lueur pour vous nourrir et comme une fleur sans eau vous êtes en train de vous éteindre petit à petit. Les petites manies de votre enfance reviennent : vous cammouffler votre mal-être derrière une exubérance excéssive. Vous vous mettais à parler parler sans cesse pour remplir l'espace, votre espace. mais vous ne le remplissais que de vide.

Un jour un nouveau venu apparait dans votre monde, un collègue d'une autre agence que vous rencontrais lors d'un déplacement. Contrairement aux autres il vous voit, sa conversation n'est pas uniquement professionnelle, il cherche à savoir qui vous êtes vous en tant que personne. Passé le moment de surprise vous vous dévoilais petit à petit. Au depart vous vous contentais de lui faire une description matériel de votre famille sans jamais parlé de votre souffrance. Et cours d'un voyage en voiture vous ne savais pas pourquoi ce qui fait que tout d'un coup vous videz votre sac. A t'il souri, a t'il dit quelque chose qui vous a rassuré ou tout simplement le besoin est il devenu si grand que tout est sorti... peux importe vous l'aviez fait. Même si au moment de le quitter vous avez ressenti de la geine d'avoir ainsi parlé à un illustre inconnu, le mal qui vous avez rongé depuis des années était enfin sorti.

Pratiquement trente ans il avait régi votre vie affective mais surtout sexuelle. Au ce n'était qu'un jeu d'adolescent, une découverte du corps à une époque rempli de tabou mais pour la petite fille que j'était il était difficile de comprendre pourquoi vous deviez accepter ses mains sur votre petit corps, ses levres sur les votre. Même si vous n'avez pas le souvenir d'un traumatisme votre vision du sexe est faussé. A 18 ans pour faire comme tout le monde vous le faite sans plaisir sans vrai désir juste pour rentrer dans une normalité qui vous est inconnu. Même lorsque vous avez une vrai relation amoureuse le sexe est juste le moment calme qui vous permet de vous remémorer les courses à faire. C'est extrèmement caricatural mais vous savait ne pas être seule car celle ou celui qui à lancé cette image à du s'appuyer sur du vécu. Comme votre vie sexuelle n'est pas assez pénible, lors d'un violent chagin d'amour que vous noyez dans l'alcool un bon copain de votre bande vous console en vous basculant sur le sol dure d'une digue alors que vous êtes incapable de comprendre ce qui se passe. Il se repend le lendemain en commentaire sur la sècheresse de votre corps mais comment pouvait il en être autrement ce doux liquide de votre désir ne pouvait apparaitre qu'en pleine conscience des évènements. Aussi paradoxal que cela puisse paraitre c'est ce moment la qui a été le plus difficile à accepter. Une depréssion sévère à suivi et n'a disparu que le jour ou j'ai été capable de dire non à un jeune homme. Ce non que je n'ai pu prononcé, ce non que je n'ai pu pensé...

Le plus dur à entendre aprés mon récit ce son les mots qu'il a mis sur ces évènements des mots que je refuse encore aujourd'hui. Le premier était un jeu ou la peur m'empéché de dire non et le deuxième ou l'idiotie de ma beuverie ma conduite à être incapable de refuser un évènements. Même si j'accepte le fait de ne pas être entièrement responsable je le suis d'avoir bu plus que de raison...

Je crois qu'aprés cela même si j'ai toujours refusé de le reconnaitre mes sentiments pour mon bienfaiteur se sont mis à germer dans un coin de mon coeur. Il s'en est suivi une période qui n'a pas était trés facile pour lui, il est devenu ma bouée de sauvetage. Chaque moment pénible pour moi lui imposé des heures de téléphones et ce durant 2 mois. Ensuite j'ai du calmer ma freinesie, d'une part pour notre travail et d'une autre pour les 2 notes de téléphone phénoménale que cela entrainé. Ces longues heures nous avaient énormement rapproché, il était devenu le grand frère que je n'avais jamais eu. Nous nous voyons que rarement et lorsque plusieurs mois après je l'ai anouveau revu j'ai du me rendre à l'évidence que mon coeur se mettais à battre la chamade et que le moindre contact furtif générait en moi un trouble qui me faisait presque défaillir. Il est alors devenu mon coatch minceur, ses encouragements m'ont décidé à prendre mon corps en main. J'ai commencé à perdre du poids, beaucoup de poids : 27 kg même si avec le temps j'en ai repris 7. J'ai changé ma garde robe pour la première fois depuis des années je me suis occupé de moi. Je me suis inscrite en danse orientale paradoxale pour quelqu'un de ma corpulance. J'ai commencé à accepter mon corps et a redevenir une femme, tout cela grace à lui. Je crois que c'est la raison qui me poussera plus tard à tout lui pardonner.

Ma plus grosse erreur a été de lui avouer mes sentiments, notre relation s'en est trouvé alors extrèmement compliqué. Il était mon ami et c'est à mon ami que j'ai fait cet aveu sans rien attendre en retour. Pour une raison que j'ignore j'ai toujours éprouvé le besoin d'être foncièrement honnête envers lui. C'est pourquoi je lui ai dit de faire attention lorsque nous nous reverrions car j'était rempli d'envi de séduction, rien de tordu rien de compliqué juste envi de lui plaire. Nous étions marié et n'en avions pas le droit je voulais qu'il puisse être notre raison, ma raison. Chaque idée chaque envie je la lui ai communiqué pour une transparence parfaite. Je voulais que notre relation amicale soit basé sur la confiance et surtout sur la vérité. Mais cela a fait tout l'inverse, une relation rempli de méfiance est apparu, une relation rempli de suspition des plus abérante, des idées qui n'auraient jamais pu germer dans mon cerveau dans ma relation à moi 100 % honnète, des idées qui m'ont fait souffrir. Plus je me voulait franche plus il me décrivait calculatrice et fausse. Enfin tout cela aprés que sa vie ai pris un tournant pour le moins pénible.

Lors d'une discussion banale, je lui ai fait part de mon idée que tout les adultères était découvert grace au portable et fort de cette remarque il a consulté le sien pour découvrir ce qu'il avait toujours refusait de voir mais qu'il savait au fond de lui même : un autre homme s'était immisé dans leur vie. j'ai beaucoup souffert d'être l'instigatrice de sa découverte mais j'ai surtout beaucoup souffert de la haine qu'il a alors reporté sur les femmes. Il est clair que cela était une réaction normale, cette trahison associé à mes sentiments pour lui alors que moi même j'était marié ne faisait qu'accroitre son idée que les femmes étaient toutes des salopes. Sa détermination a affirmer le contraire et bien entendu l'ampleur de mes sentiments pour lui m'ont empêcher de réaliser cela, j'était bien plus enclain à croire ce qu'il me disait que cela ne changé rien entre nous. Je n'ai à ce moment là pas vu pour autant une opportunité pour moi, trop occupé à souffrir avec lui pour lui. Je ne voyait alors qu'injustice, comment pouvait on faire pareille chose à un être aussi bon...

C'est a ce moment là que ma vie à basculé dans l'incompréhention la plus totale, c'est cette partie là que j'ai besoin de poser afin de pouvoir enfin tirer un trait dessus, oublier et surtout pardonner...

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