Ces mots raisonnent sans cesse dans ma tête :
Ces mots raisonnent sans cesse dans ma tête : "Comment peut on se mettre dans un tel état juste pour un non". Je n'ai pu y répondre non pas que je n'avais rien à répondre à cela mais parce que la réponse était trop douloureuse.
Ce charmant jeune homme ne m'a pas simplement dit non, tout refus n'est jamais agréable mais on s'y fait, on l'accepte tant bien que mal.
J'ai du mal à accepter qu'il résume notre histoire avec une seule phrase et surtout avec cette phrase...On peux déja étudier le "non", ce n'était pas non je ne veux pas coucher avec toi mais non je ne peux pas coucher avec toi, j'en ai envie mais je ne peux pas. Déjà là il y a un problème, certes non c'est non mais "je ne peux pas" en refusant de donner la raison : ne peut on pas en doute raisonnable penser que c'est qu'il a, suite à son histoire douloureuse, l'impossibilité d'avoir des rapports sexuels avec qui que ce soit ? Bien sur que si et moi j'y ai cru, profondement cru... Je savais que l'echec de son mariage l'avais profondemment affecté et particulièrement dans sa qualité d'homme. Je n'avais de cesse de lui dire quel bel homme il est, combien il m'était désirable et si certains jours je ne le faisait pas et qu'il était triste il amenait la discussion sur ce sujet. Je savais ce qu'il attendait, ce qu'il voulait entendre, je le pensais sincèrement il ne m'était donc pas difficile d'être crédible.
On avait instauré un petit jeu tout les deux qui même si j'appréciais ces moments d'intimités me faisait souffrir... beaucoup souffrir. Si j'ai accepté ses règles du jeu c'est parce que d'une part c'était agréable de toucher son corps "d'homme" mais principalement parce que je pensais que cela lui était neccéssaire pour résoudre ses problèmes et enfin faire ce qu'il avait prétendument envie : me faire l'amour. Si j'avais ne serais ce qu'une fois douté de l'issu de notre relation je n'aurais pas joué. Il prétend ne l'avoir fait que pour moi pour que je me sente mieux que je souffre moins mais ce n'était pas le cas et il le savait. Quand c'est devenu trop difficile on a stoppé le jeu durant un an. Certes mes sentiments pour lui n'avait pas disparu mais j'avais fait mon deuil de ce moment que je désirais tant. Notre relation s'en est trouvé amélioré même si elle n'était pas parfaite.
Quand il m'a proposé de venir dans ma chambre un soir de déplacement : je n'en revenais pas. Mon coeur c'est mis à battre la chamade, le moment tant attendu était enfin arrivé... Il s'est assis sur la chaise et moi sur le lit. On aurai dit deux adolescent lors de leur première fois. J'avais encore des doutes mais c'était la première fois que cela arrivait qu'on se retouve dans la même chambre et c'est lui qui l'avait voulu. Alors pour en avoir le coeur net j'ai posé ma main sur son genou, attendant qu'il la repousse ce qui aurait sonné la fin de mes espoirs ou qu'il me laisse faire porte ouverte à tous les plaisirs. Je portais un tee-shirt avec un anneau entre les seins et il y a passé les doigts avec son air de petit garçon pris en flagrant délis de bêtise. Ce regard m'a toujours totalement fait craqué.. J'ai monté mes mains plus haut sur ses cuisses... on c'est installé sur le lit, moi sur lui. Je l'ai embrassé dans le cou et quand j'ai voulu l'embrasser sur la bouche il a murmuré à mon oreille "tu sais qu'on ne le fera pas" et je lui ai répondu "je sais" mais je le savais pas. J'avais le sentiment d'avoir pris une claque mais je ne pouvais pas m'arreter de le caresser j'avais tellement envie de lui...ce n'était pas non plus pour lui déplaire. Il m'a aidé à lui oter son pantalon. Il m'a demandé d'oter tous mes vêtements mais je ne voulais pas d'une part parce que j'était trés complexé de mon corps et d'une autre parce que je n'avais absolument pas prévu cela, je n'était même pas rasé : oh la honte... Il a su me convaincre en disant que cela me fairais du bien de vaincre mes complexes. Je l'ai fait. On c'est caressé , lui timidement et moi avec désir et ce jusqu'au bout de son plaisir. Je savais que je ne pourrais atteindre mon propre plaisir, cette situation que je n'attendait pas, ma nudité, mes poils long et apparent : trop de facteur bloquant pour moi. Ensuite on est resté l'un contre l'autre nu sur le lit. Je ne me lassais pas de caresser ce corps de male si désirable et quand j'ai levé le regard vers lui il regardait sa montre... ca ma fait mal... mes caresses l'ennuyaient... trop dure. Il est ensuite retourné dans sa chambre et je me suis endormi avec ce souvenir merveilleux mais je n'avais pas atteind mon plaisir et au milieu de la nuit je me suis reveillé mon désir toujours là et rempli du bonheur que ce moment m'avais procuré. Je me suis demandé s'il dormait car je savais qu'il se reveillé toujours tôt dans les hôtels. J'avais envi et aussi bizarre que cela puisse paraitre j'avais le sentiment qu'il s'était passé quelque chose de trés fort entre nous et qu'il devait aussi le ressentir. On se voit pratiquement que 2 à 3 fois par ans je savais qu'il faudrait de long mois avant que la magie réopère alors je me suis levé me suis douché, je me suis rasé ai mis de beau dessous contrairement à ceux de la veille. J'ai pensé à ce moment merveilleux passé ensemble et me suis mise en condition, j'avais envie qu'il me donne du plaisir et comme je respectais son choix de ne pas vouloir de relation plus approfondi je voulais qu'il me le donne par des caresses mais je ne voulais pas que cela dure des heures...Je me suis posté devant sa chambre et j'ai attendu plus d'une heure. Quand j'ai vu la lumière j'ai frappé, il a ouvert avec son short : il était beau... mais quand j'ai vu son expression j'ai compris que la magie s'était envolé : il était furieux... je suis retourné dans ma chambre et j'ai pleuré toute les larmes de mon corps ensuite j'ai caché le désasdre avec du maquillage. Je me suis excusé et il m'a fait des remarques durant des mois voir des années sur ce matin là. J'ai du m'excuser un nombre de fois certaines, non pas que je trouve mon attitude totalement déplassé ou inconvenante mais parce qu'il l'avait extrèmement mal pris. Pas une seule fois il ne c'est demandé pourquoi j'était là, pas une seule fois il ne c'est dit qu'il était normal que je veuille prendre du plaisir moi aussi et que je m'était couché frustré... frusté qu'il ai encore refusé de me faire l'amour alors qu'il s'invitais seul dans ma chambre, frusté de ne peux avoir pu prendre de plaisir ...
Par la suite il n'a retenu de ce moment la que moi devant sa porte le matin, le plus dure c'est qu'il me présentais comme une espèce de "psychopathe" pour avoir cela pour avoir eu envie de prendre du plaisir...
Le problème c'est que pour le coup mes complexes ne ce sont pas évanoui... bien au contraire mais comment en aurait il pu être autrement. Un homme vous demande de vous mettre nu, refuse de vous embrasser et refuse de vous faire l'amour ensuite il regarde sa montre et vous traite de "folle" par la suite... c'est sur après cela je me suis sentie belle et désirable OH oui...
Comment accepter ce non qui n'est pas un vrai non puisqu'il accepte de prendre du plaisir mais refuse de vous en donner...
Il se disait mon ami, mon ami ne pouvait pas m'imposer une telle souffrance sans une vrai raison... mais quelle vrai raison... ah il en a eu parait il mais il ne peux me la dire... Posons nous la question : que pourrait il y avoir pour moi de pire si on faisait l'amour une fois et une seule ? Je me sentirais enfin femme... comme lui c'est senti homme grace à moi... ah non ça c'est les avantages... nos relations de travail s'en serais trouvé amélioré car ma rancune n'est que le résultat de son attitude de refus de plaisir pour moi et pas pour lui... toujours avantage...je n'aurais pas envie que cela recommence... mais ça c'est pour lui et uniquement pour lui, de toute façon ma demande était une fois et une seule et son "non" si je l'avais malgré tout demandé m'aurais paru normal... à mais cela il ne le crois pas... comme d'habitude pourtant c'était vrai... j'ai tout fait pour qu'il puisse me faire confiance sur ce sujet.
Lors d'un autre jeu ma bouche était si proche de lui que j'aurais pu le faire sans qu'il n'y puisse rien mais je ne l'ai pas fait ca m'a coutais beaucoup vraiment.. mais j'avais promis et je tiens toujours mes promesses, j'ai levé mes yeux comme pour lui demandé son accord, il m'a relevé pour refuser et je l'ai accepté depuis c'est mon plus grand regret... mon honneté n'a pas été payante alors j'aurais du faillir à ma promesse au moins je me serait fait plaisir...
A cela il me demande ce que cela aurait pu m'apporter mais merde cela m'aurais donné du plaisir, n'avais je pas droit à cela??!! Comment peut on être aussi égoiste ?
Continuons a expliquer pourquoi ce non me met dans un tel état !
Le jeu à durais 2 ans suite à sa reprise. On a vécu des moments intenses souvent juste par le fait d'être ensemble et de parler ensemble. Je lui ai demandé de me dire qu'il voulait pas coucher avec moi et il a refusais car ce n'éatit celon lui pas la vérité et il ne pouvais me mentir et pourtant il l'a fait si souvent me mentir. Des mensonges qui m'ont vraiment fait beaucoup de mal mais celui qui aurait pu me guérir il ne pouvait pas... alors pourquoi si ce n'est qu'il avait besoin de ces moments pour se sentir "homme" oubliant que moi aussi j'avais besoin de me sentir "femme" c'est la seule explication que je vois aujourd'hui.
Il m'a aussi dit vivre intensemment certains moments avec moi alors pourquoi ? "Je ne peux pas te le dire" est la seule réponse qu'il ai pour moi.
On a vécu un de ses moments intense pour tous les deux en rentrant de déplacement. Ensuite je lui ai posé des questions car je ne pouvais comprendre s'il l'avais vécu aussi intensemment que moi pourquoi son refus. pas de réponse ou plutôt si une réponse que je n'attendais pas une semaine aprés notre retour : "Il avait couché avec une fille qu'il avait connus quelques mois auparavant"... oh douce descente aux enfers.. C'était les vacances de noël j'ai passé mon temps au lit à pleurer toute les larmes de mon corps. Comment lui mon ami avait il pu courrir faire l'amour à une autre moins d'une semaine après notre moment intense? Pourquoi lui mon ami avait il acceptait que je le caresse alors qu'il n'avait du désir que pour cette femme ? Jamais je n'ai sentie de douleur aussi violente, j'était plié en deux dans mon lit en position phoetus... par la suite je vais apprendre que c'était un mensonge pour mon bien... c'est sure cela m'a fait beaucoup de bien...
Il a tout même couché avec cette fille "que beaucoup d'homme rêverais d'avoir" exactement les paroles qui vont me réconforter mois la fille que personne ne veut...
Alors oui ce "non" me pourri la vie encore longtemps après la fin de notre jeu oui j'ai peur des hommes car je sais que je ne me relèverais pas d'une autre humiliation...
Car cela a été un "non" à mon plaisir et un "oui" au sien. grace à ce jeu il a réussi à faire la cour , embrasser et faire l'amour à une femme splendide mais moi il m'a laissé sur le bord de la route. loin très loin dérrière. Il a fait remonté à la surface tous les vieux démons que j'avais mis 30 ans à enterrer.
Voyons résumons les faits : je me met entièrement nu, pas de baiser sur la bouche, des attouchements surtout pour l'homme... euh voyons de quel évènements parlons nous... des abus dont j'ai était victime enfant ou du présent avec lui mon ami mon collègue... DU PRESENT... dommage pour moi... tant mieux pour lui...
Oui je souffre, j'ai le sentiment que celui qui se disais mon ami c'est servie de mes sentiments pour lui afin de regagner sa propre confiance en lui, détruisant par la même la mienne. Oui pour moi cette histoire est d'une violence extrème par ce que c'était mon ami, parce que je l'aimais parce qu'il m'a refait vivre mon passé. La violence n'est pas juste physique elle peut être morale elle n'en ai pas moins forte.
Lors de notre dernière discussion il m'a reprochait d'en avoir parlé alors qu'il avait juste posé une simple question : "Pourrais je coucher à nouveau avec mon mari infidèle?" mais la vérité ce qui m'a fait en parler c'est la force avec laquelle il voulais que je le fasse. A chacune de mes raisons de refuser il a tenu à me dire que j'avais tord. J'ai detestais cette insistance à vouloir me faire coucher avec lui alors que lui même est incapable de le faire avec sa femme. Je sais comme cela je ne pourrais plus le rendre responsable du fait que je n'ai pas fait l'amour depuis 3 ans, du fait que je vais sans doute jamais savoir si enfin j'avais gagné mon pari d'avoir une sexualité "normale" et épanoui. J'ai le sentiment que je vais mourir sans obtenir de réponse à cela j'espère me tromper mais c'est dur j'ai des tonnes de désirs et des tonnes de peurs.
Je ne pourrais jamais lui dire cela, je le voudrais, j'aurais besoin qu'il le comprenne ne serais ce que pour lui pardonnais mais ce n'est pas possible. Il y a une chose que j'ai apprise avec lui c'est même si ma souffrance est intense que j'ai besoin qu'il en prenne conscience je ne dois jamais au grand jamais penser qu'il puisse comprendre et ne pas pouvoir me faire plus de mal. A chacune de mes tentatives de discussion avec lui il a le sentiment que je veux dire toujours la même chose c'est marrant mais au boulot c'est pareil : a propos d'un fichier : je lui parle du contenant (le nom du fichier) et il pense que je lui parle contenu (le remplissage des zones contenu par ce fichier) et c'est sans fin je vois son erreur essaye de lui expliquer autrement mais rien n'y fait. Ici c'est pareil, avec le temps et la disparition de mes sentiments mais surtout mon impossibilité d'admettre que celui qui ce disais mon ami puisse me faire une chose aussi horrible j'ai vu les choses avec plus de recul j'ai essayé de le comprendre mais je ne peux pas. Pour lui mes sentiments sont le coeur du problème alors que c'est grace à eux que j'ai accepté qu'il me traite de la sorte sans cri ou vengeance. Pour en revenir à ce que je voulais dire, a chacune de nos discussions la dessus il m'a dit des choses encore plus méchantes encore plus dure alors tant pis c'est dure je dois souffrir seule en silence et j'y arrive relativement bien. Seulement chaque fois qu'il me traite pas "en collègue" normale ou qu'il me fait des remarques comme celle qui m'a fait écrire tout cela. Je passe des semaines à m'en remettre, à pleurer la nuit parfois le jour. Et la question que je me pose c'est "Comment a t'il pu me faire une telle chose", il connaissais mon passée mes sentiments pour lui et tout comme lui m'a dit "non je ne PEUX pas" moi je lui ai dit que tout cela n'était pas un jeu pour moi, que tout cela me faisait souffrir et que j'attendrais qu'il soit prêt. Il aurais du être clair en disant je ne veux pas car c'était la vérité il n'avait pas de problème physique l'empechant de le faire a moins que ce soit le dégout de ce gros corps mais sinon ne pas pouvoir n'est pas valable car il ne pouvais pas me faire l'amour mais il pouvais se faire caresser jusqu'au plaisir. Un jour je lui ai demandé pourquoi il ne me touchais presque pas il a répondu pour ne pas être tenté d'aller plus loin alors je lui ai demandé pourquoi dans ces cas là n'avions nous jamais inversé les rôles, il me caresse jusqu'au bout et je le touche pas. Il n'a rien eu à répondre. J'aurais accepté une raison "autre" au refus si le jeux avait été équitable mais en fait c'était à sens uniquement et surtout rien pour moi. Pas même un baiser, j'avais demandé qu'il m'en donne un mais même cela je ne l'ai pas mérité en fait j'était juste bonne à branler. Trop conne la fille trop amoureuse et trop conne pour voir que je n'ai été pour lui qu'un jouet jetable à volonté. On siffle, elle caresse on dit stop elle stoppe on dit attend elle attend...
Le première de nos grosses disputtes à eu lieu après notre premier jeu. Quand je suis rentrée chez moi j'était tiraillé entre le plaisir d'avoir touché son corps et le sentiments que tout cela n'était pas bien "normal". Je me suis mal exprimé au lieu de dire que "j'acceptais ses règles du jeu" je lui ai dit que "j'accepté ce jeu". Et la on est parti sur une polémique qui a duré plusieurs années qui dure encore car il refuse toujours d'entendre la vérité. Il a vu cela comme une accusation. je l'accusais d'être l'instigateur de ce jeu. En voulant me defendre j'ai voulu lui faire comprendre que nous étions 2 à vouloir qu'il se passe quelques chose mais moi je voulais plus et lui juste cela c'est ce que j'avais décidé d'accepté pensant que c'était un problème physique chez lui. Et comme il semblait dire que j'était seule à vouloir j'ai essayé de lui démontrer que lui aussi voulait et la encore il a cru que je disait que lui seul voulait. Enfin peux importe on voulait tous les deux sauf que moi je voulais une vrai relation même "que sexuelle" mais une vrai
Aujourd'hui j'ai découvert que les jeunes garçons ( à partir de 11 ans) jouent régulièrement à ce genre de jeu (attouchements) mais moi je n'ai jamais connu cela même adolescente. Et encore moins à plus de quanrante ans. avant 30 ans un garçon devait s'armer de pateince avant de passer au sexe et même au caresse sexuelles juste flirt, passé trente ans les caresses sexuelles finissaient obligatoirement en relation sexuelle et cela dans la première semaine de notre rencontre. Alors ce jeu n'avait "rien de naturel" pour moi. Je nous trouvait trop agée pour ce genre d'enfantillage et cela ne faisait qu'accentuer ma certitude du problème sexuel qu'il pouvait avoir.
Tu parle, il en avait un c'est vrai son manque de confiance en lui mais il n'a à aucun moment songé partager sa réussitte avec moi, moi j'était juste celle par qui cela pouvais être possible avec une superbe femme bien sure.
Enfant j'ai été celle qui a permis à deux adolescents de découvrir le corps d'une fille avant qu'ils puissent en mettre une dans leur lit et à quarante ans j'ai permis à un adulte de prendre assez confiance en lui pour faire l'amour à une autre femme que sa femme. Je lui ai parlé de la sexualité féminine de leur attente leur désir de tout ce qu'un homme acquiert avec l'expérience mais que lui n'a pas connu vu qu'il s'est marié à 17 ans et qu'a cet age la sexualité est loin d'être celle d'une adulte.. enfin j'ai été sa coatch mais je l'ai surtout vécu comme étant un jouet sexuel.
A la fin d ce récit je n'ai plus de larmes mais faut dire que j'ai passé une partie de la nuit à pleurer et durant tout mon récit également. Je ne pensais pas en dire autant...
Je dois écrire car je ne peux en parler à quiconque pas même à ma meilleure amie exactement que ce qui m'est arrivé jeune j'ai mis 20 ans avant de le dire à qui que ce soit. C'est à lui d'ailleurs que j'en ai parlé. Il avait toute les données pour savoir que son attitude avec moi était pas la bonne mais non. Il refuse d'avoir tord, il mourra un jour avec la certitude d'avoir bien agis et moi je suis sure que je penserais à tout cela avant de partir. Mes paroles se perdront dans le monde immense qu'est internet et personne ne saura ce que ma souffrance à été. Je la cache derrière le sourire la nourriture les cadeaux pour les autres pour moi... je m'accorde des plaisirs qui ne seront jamais ce que j'était en droit d'attendre mais qui reste des petits plaisirs tout de même.....